LA DISPARITION INELUCTABLE DES PARTIS

Les Agoras Citoyennes de France

Le Collectif orientée vers une France libérée du joug de la politique politicienne

 

 

La disparition inéluctable de l’influence des partis

Et la naissance prochaine d’une démocratie semi-directe

Il est clair que la première alerte, en 2017, aurait dû faire connaitre inéluctablement l’incapacité des partis politiques à représenter le peuple français. L’arrivée surprise d’Emmanuel Macron et l’instauration d’un nouveau mouvement en quelques mois, proposant une vague alternative aux partis engoncés dans des structures rigides et figées dans la notion droite/gauche dépassée, en ont été révélateurs. La soif du changement de stratégie politique était évidente.

Naviguant sur une ligne politique ambiguë, le nouveau jeune Président, totalement inexpérimenté en la matière, a réussi à faire exploser le paysage politique français, mettant à terre un PS déjà moribond, divisant les LR et conservant en face de lui, comme seul adversaire, un camp souverainiste fort mais incapable de travailler de concert et avec, pour certains, un passé plutôt sulfureux.

Cette nouvelle entité, étant très certainement l’œuvre de Bildenberg et des défenseurs d’une gouvernance mondiale et d’une capacité financière hors du commun.

Il est évident qu’une majorité des Français ne sait plus où elle se situe politiquement parlant et ne se reconnaît plus dans les partis traditionnels. Preuve en est la poussée des écologistes aux dernières municipales, devenus pour certains, et faute de mieux, un refuge idéologique, malgré des propositions désastreuses économiquement. Un désamour confirmé par une baisse drastique des adhésions, et ce, dans tous les partis.

Mais le nouveau mouvement LREM, a été très vite catalogué comme un nouveau parti politique, exploitant comme les précédents, une constitution à tendance monolithique et son Président étant très vite devenu impopulaire.

Comment peut-on expliquer une telle « désaffection » pour les partis traditionnels ?

La perte de confiance dans les hommes politiques est la raison première. En effet, comment continuer à faire confiance à un monde politique où la professionnalisation (et la nécessité de conserver un mandat) ne permet pas de sortir des lignes rigides personnalisant chaque mouvement. Et ce ne sont pas, les résultats désespérants qui peuvent modifier le sens de l’histoire.

La seconde raison qui, rend obsolète dans leur forme actuelle les partis politiques est la composition même de ces mouvements. En effet, dans un parti politique quel qu’il soit, il y a deux catégories de participants :   

Les adhérents, militants et cadres locaux (voire certains nationaux) qui, bénévolement, œuvrent avec conviction et désintéressement pour les idées auxquelles ils croient, idées véhiculées par leurs chefs de file, potentiel devenu inopérant par la baisse de ses effectifs. Non seulement ils sont bénévoles, mais ils payent à la fois de leur personne et par leurs cotisations.

Et, les responsables décideurs nationaux qui vivent de la politique.

Et c’est vers cette seconde catégorie que l’on trouve le problème. En effet, ces derniers, plutôt que de chercher une vraie solution pour la France, privilégient leurs intérêts personnels et ceux de leur parti, préférant conserver leur position de leader au sein de leur mouvement (et leur mandat) plutôt que de travailler avec les autres et risquer de perdre ainsi un peu d’influence, et la défense de leurs égos.  Comme l’a si bien dit le général de Gaulle : « Chacun cuit sa petite soupe, à petit feu dans son petit coin. » Et les querelles d’égo apparaissent au grand jour.

Certes, on voit actuellement des départs au sein de certains partis et la création de groupuscules satellites aux grands mouvements. Mais la motivation des partants, si on doit leur laisser le bénéfice du doute sur la volonté de faire bouger les choses, ne serait-elle pas surtout une démarche causée par la baisse d’influence du parti choisi à l’origine et visant à asseoir une carrière politique ?

La situation actuelle est complexe et les partis n’ayant plus la confiance des Français, c’est vers le peuple qu’il faut se tourner. Cherchons à connaître ses envies et besoins. Préparons une nouvelle formule de gouvernance, tournée vers des options majoritaires dans le pays et, le moment venu, une personnalité sortira du lot et portera à bout de bras cette évolution fondamentale.

Ce qui est un peu navrant, c’est qu’un certain nombre d’associations se sont créés, pour défendre l’instauration du R.I.C. (référendum d’initiative citoyenne). Mais leur action est totalement figée en ordre dispersé, comme le font les partis politiques et n’ont de ce fait, aucune chance d’atteindre leur objectif.

C’est la raison pour laquelle, l’une d’entre elle, TOUS CITOYENS RESPONSABLES, dont à lui seul, le nom est évocateur d’une certaine sagesse, propose à la fois l’instauration du R.I.C et une structure collective « LES AGORAS CITOYENNES DE FRANCE » qui possèdera le pouvoir référendaire, afin que la démocratie représentative, qui donne les pouvoirs au parti politique ayant gagné l’élection présidentielle soit remplacée par une démocratie semi-directe, celle dans laquelle, les Citoyens ont leur mot à dire, comme contrepouvoir officiel.

Les Agoras Citoyennes de France étant composées d’Agoréennes et d’Agoréens volontaires c’est-à-dire d’Administrés qui subissent les bonnes comme les mauvaises décisions (les plus nombreuses) pour débattre dans leur Agora respective de circonscription et proposer des alternatives aux décisions considérées comme ne correspondant pas au traitement équitable de tous les citoyens.

Une Agora Nationale, dans laquelle chaque agora territoriale aura son  Agoréenne ou son Agoréen choisi ou tiré au sort dans sa circonscription, qui aura pour mission de rassembler toutes les propositions et selon leur importance, en faire des pétitions nationales puis des référendums lorsque le nombre de signatures aura atteint le minimum fixé, c’est-à-dire 1 % du Corps électoral, comme c’est le cas dans tous les pays ayant adopté le principe du référendum d’initiative citoyenne, comme la Suisse par exemple, qui en est le précurseur, depuis une centaine d’années.

La formule proposée, étant une démocratie semi-directe à la Française.

La première décision, pour mettre en place cette nouvelle manière de faire de la politique, est celle qui consiste à réformer les article 3, 11 et 89 de la constitution de 1958, dans les termes de la pétition à signer sur le site : https://www.lesagorascitoyennesdefrance.fr

Une fois cette nouvelle formule de gestion de la politique mise en place, tous les espoirs sont permis de très vite retrouver une France digne de son nom et de son passé.

Les Français devant se rendre à l’évidence, la volonté du peuple ne doit pas être confisquée par quelques dizaines de Ponce Pilate, dixit le Général de Gaulle lui-même. Non, les Français ne sont pas des moutons que l’on tond si facilement.

Quant à Victor Hugo, il a dit : « Rien n’est plus fort qu’une idée dont l’heure est venue »

Jean Jaurès de son côté a déclaré : « Nous avons conquis le suffrage universel, il nous reste à conquérir la souveraineté populaire »

Elie Wiesel (prix Nobel de la paix) : « Nous devons tous prendre parti, la neutralité aide l’oppresseur, jamais la victime ».

Nous pourrions indiquer d’autres citations car très nombreux sont nos illustres prédécesseurs, à avoir défendu la vraie démocratie, celle qui permet aux citoyens de s’exprimer librement et efficacement.

Le collectif non partisan « Les Agoras Citoyennes de France », orienté vers une France libérée du joug de la politique politicienne, mérite le soutien et la participation d’une majorité de Français qui se plaignent de subir un pouvoir qui les méprise.

La cohérence dans les idées, nécessite cette évolution des états d’esprit :

AGIR POUR NE PLUS SUBIR.

Le grand nombre et la diversité des Volontaires Agoréennes et Agoréens feront la nouvelle histoire de France

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